L’Association canadienne pour mettre fin à la violence reconnaît que son siège social, situé à Ottawa, se trouve sur les territoires traditionnels non cédés du peuple algonquin Anishnaabeg sur le territoire du Traité n°6. L’origine du nom «Ottawa» est dérivée du mot algonquin «adawe» qui signifie «faire du commerce», en référence à la rivière utilisée pour le commerce, la chasse et la pêche.
Reconnaître l’histoire de la terre, c’est aussi reconnaître la façon dont les lois et les politiques coloniales continuent de léser et d’opprimer les peuples autochtones, en particulier les femmes, les filles et les personnes 2ELGBTQQIA autochtones, qui sont aux prises avec des niveaux disproportionnés de violence.
Nous savons que la violence fondée sur le genre et d’autres formes de violence sont profondément enracinées dans le racisme et la colonisation, et que les relations des colons avec la terre et les peuples de la terre ont été lésées et utilisées à mauvais escient. Si nous œuvrons à mettre fin à la violence fondée sur le genre, nous partageons également la responsabilité de la réconciliation et de prendre soin de la terre.
EVA Canada reconnaît également la force et la résilience des peuples et des communautés autochtones. Nous tâchons de mettre les voix des personnes qui vivent l’oppression au cœur de notre travail. Nous reconnaissons notre part de complicité dans le système et nous luttons contre le patriarcat, le colonialisme, la suprématie blanche et le racisme.
Le personnel du secteur de la VFG fournit des […]
Un financement stable et prévisible est nécessaire pour faire […]